By {chiie}
Faire une lettre de motivation, c'est lécher le cul par avance de ton futur doyen. Perso, j'arriverais pas à le regarder en face avec ce que j'ai écris. J'espère juste qu'il appréciera mon talent. Ps ; comment avoir des sentiments respectueux à l'égard de quelqu'un quand on le connait même pas ? Si ça se trouve c'est un gros pouilleux et il a rien de respectable - ou peut-être même, qu' "elle" est une gueuse...

Bon sinon, les aventures à Lille ça continue avec un nouveau mode de fonctionnement, tu te couches à 6h du matin, tu te réveilles à 3h de l'après-midi, tu bosses tranquille, tu gères le mal de crâne avec ton ami le Doliprane, et rebelotte. Avec en prime une pause shopping, et une pause apéro traing-quilleuh. Sinon ça bosse bien ? Ouais, ouais. Tu connais...
 
Fly, Erica Lea.

Partir, d'un coup de tête et traverser l'europe. Elle avait un but c'était de retrouver son Diego pour lui faire une surprise tchèque, et moi, c'était histoire de m'éloigner, m'éclater la tête à Prague. Les pays de l'est, on aura beau dire, c'est quand même hypra canon. Vieux, décalé, mais la vie qui y règne est simplement folle. Belle. On aura tout tenté, au moins, et on aura peut-être pas le regret du séjour trop court. C'est à organiser plus sérieusement, car les gens semblent décidément résolu à organiser du tout au tout chacun de leur pas. La prochaine fois, c'est avec le permis qu'on filera sans rien dire. C'est l'histoire d'un mardi soir, Pod & Can se découvrent un goût pour l'imprévu. 

 
Kristen Drozdowski.

Un après midi glande comme chaque après midi glande, un quart d'heure à poiroter à se faire tremper, le sourire aux lèvres. Un temps à se moquer du petit bonhomme 7 étage plus bas qui roulait à vélo, dans son imperméable Batman. Un café, un diner presque parfait, une pizza, de la manza, de la vodka, des fruits et du fun ! En route pour le Magnum, et du plaisir pour les yeux. J'aurais revu les-copains-de-celui-qui-me-gonfle-déjà, j'ai haussé les épaules quand il m'a demandé de ses nouvelles, après tout oui, je ne sais pas comment il va, je ne m'en occupe pas vraiment. Pod m'indique avec son oeil de lynx un bien beau danseur. Ce qui a de cool entre Pod & moi, c'est nos goûts accordés sur le même genre de gars. Ce qui a de pas cool, c'est qu'il est pas dis qu'ils soient parfaits. Ca se regarde, ça se sourit, ça danse, et il gâche le moment Pulp Fiction avec un "viens, on va aux toilettes." GACHIS. GACHIS, je vous dis. 
 
Je suis une handicapé relationnelle qui envoie peut-être des mauvais messages corporels. Alors nous rentrons, sur la route on fait un arrêt église, dire merci à Jésus et balancer un gros mot à deux pas de l'autel. C'est qu'on se rebelle ! C'est qu'on file vers la terrasse de Pod, aussi, après qu'elle ait reçu un coup de fil tchèque de deux torchés. C'était du bon, nous n'étions que deux, mais nous avons passé une des bonnes soirées de notre semestre de glande. Au final, si on y réfléchit, on aura fait de la grosse daube pendant 6 mois et quelques, et pourtant on aura simplement profité du temps dont on a pas profité pendant des années de collèges et lycée DIFFICILES ! C'était dur, si si, c'était horrible ! Mais nous semblons avoir été les deux seules à garder des séquelles de notre emprisonnement scolaire. Les autres s'en sortent. Paix à leur âme !
 
Can & Nutys © Nutys.
 
J'ai cédé à l'envie du premium après avoir vu que j'avais du crédit à dépenser d'ici le début de la Coupe du Monde de Football. 11 juin, le crédit arrivera dans mon portable par la magie Orange, et la France va se faire niquer par la magie Uruguay ! C'est sûrement un signe... & Audrey Tautou pose pour vous sur Can ! 

La photo est vieille, mais c'est en parcourant Facebook et la magie des archives que j'ai revu une session photo qui datait de notre der des der à Saint Etienne au Mont avec Nutys. Gaiement elle m'a refilé les dernières qui trainaient sur son ordi et paf, pastèque, un petit passage colo sous photoshop, et je met cette photo partout où je passe. ( cow, face, msn. ) J'aime, j'aime, c'est la baguette, le fond bleu et la miss qui m'auront fait rêvé pendant des années. :)

Je n'ai plus qu'une hâte, c'est de m'éloigner de ce qu'on appelle notre "nouvelle vie" pour quelques semaines de retour aux origines. En août, c'est Marine, Kathleen, Alice, et Anne, old school, back to basics.
 
Louise Bourgoin, Adèle Blanc-Sec, Luc Besson. 

C'est un Besson qui ne s'arrête jamais de réaliser, et il a bien fait de changer un peu de style. On s'éloigne de Taxi, Yamakasi, Wasabi, et tout les trucs en i avec Jean Reno ou Sami Naceri. Là, c'est Louise Bourgoin, Mathieu Amalric, Gilles Lelouche et Jean-Paul Rouve. On remerciera Tardi d'avoir consommé quelques champignons et d'avoir tiré un scénario un peu... étrange. Une sorte d'Indiana Jones au féminin, où la laideur des personnages est maître mot. Il n'y a que Louise Bourgoin et Laure de Clermont Tonnerre qu'on n'arrive pas à enlaidir ! Louise, ah Louise, le bon choix. L'actrice aux facettes multiples, très bien choisie pour le rôle d'Adèle. Piquante, amusante, décalée. L'association parfaite.
 
 

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